Ce que j'aime le plus dans le Web 2.0, voire le Web 3.0, c'est le 0.
J'ai lu quelque part que Second Life avait une population plus de deux fois supérieure à celle du Luxembourg. C'est sans doute un "effet de manche virtuel" destiné à impressionner les lecteurs par des chiffres, mais la superstition des chiffres est une chose et la vérité en est une autre :
- contrairement au monde réel, dans lequel nous sommes présents 24h/24, les résidents de Second Life se connectent tout au plus quelques heures par jour, la plupart quelques minutes et un certain nombre pas du tout;
- si l'on regarde les résidents qui se sont connectés dans les 60 derniers jours, on est à un peu plus de 500 000, et dans ce nombre sont comptés ceux qui se sont inscrits "pour voir" et qui ne reviendront plus;
- enfin, les résidents de Second Life ne sont pas des êtres "supplémentaires", en plus de l'humanité existante ; Second Life n'est qu'une extension de nos possibilités et de nos sensibilités, et c'est déjà beaucoup; les avatars qui y "vivent", c'est nous. Oui, c'est nous.
C'est pourquoi j'apprécie vraiment l'initiative de Repères, qui met en oeuvre sa stratégie avec une approche humaine des choses en ouvrant une agence d'études marketing dans Second Life.
J'ai lu quelque part que Second Life avait une population plus de deux fois supérieure à celle du Luxembourg. C'est sans doute un "effet de manche virtuel" destiné à impressionner les lecteurs par des chiffres, mais la superstition des chiffres est une chose et la vérité en est une autre :
- contrairement au monde réel, dans lequel nous sommes présents 24h/24, les résidents de Second Life se connectent tout au plus quelques heures par jour, la plupart quelques minutes et un certain nombre pas du tout;
- si l'on regarde les résidents qui se sont connectés dans les 60 derniers jours, on est à un peu plus de 500 000, et dans ce nombre sont comptés ceux qui se sont inscrits "pour voir" et qui ne reviendront plus;
- enfin, les résidents de Second Life ne sont pas des êtres "supplémentaires", en plus de l'humanité existante ; Second Life n'est qu'une extension de nos possibilités et de nos sensibilités, et c'est déjà beaucoup; les avatars qui y "vivent", c'est nous. Oui, c'est nous.
C'est pourquoi j'apprécie vraiment l'initiative de Repères, qui met en oeuvre sa stratégie avec une approche humaine des choses en ouvrant une agence d'études marketing dans Second Life.
1 commentaire:
Ha oui, dans SL vous êtes peut-être 2 fois plus nombreux qu'au Grand Duché mais je suis sûr que vous mangez beaucoup moins de saucisses...
Des bonnes saucisses virtuelles pourtant, avec une petite bière 2.0 bien fraîche, que rêver de mieux ?
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